Narcose

Directed by Julie Gautier

With Guillaume Nery

Produced by Bluenery

«Switch off the light» Put on your headphones Enjoy
Team
julie
Julie Gautier
Auteure - Réalisatrice
juliegautier.over-blog.com
guillaume
Guillaume Nery
Co-réalisateur - Personnage principal
www.guillaumenery.fr
Jacques-Ballard
Jacques Ballard
D.O.P - Chef opérateur - Caméraman terrestre/sous-marin…
www.jacquesballard.com
7
Laurent Parisi
Compositeur
www.laurentparisi.fr
5
Jérôme Lozano
Monteur
www.jeromelozano.com
6
Frederick Devanlay
Designer sonore
www.big-wheels.fr
2
Vincent Arnardi
Prise de son - Mixeur
www.imdb.com/name/nm0003399/
8
Fursy Teyssier
Animation
www.lesdiscrets.com
3
Elie Duponchel
Chef décorateur
elieduponchel@hotmail.fr
4
Guillaume Maidatchevsky
Assistant
www.linkedin.com/pub/guillaume-maidatchevsky/11/618/95
10
Forêt Bleue
Effets spéciaux - Producteur exécutif
www.foret-bleue.com
Portrait_Caroline
Caroline Audibert
Aide à l’écriture
9
Gilles Lemaire
Co-producteur
www.facebook.com/lemairegi
bertrand_loyer
Bertrand Loyer – Saint Thomas Productions
Producteur exécutif
www.saint-thomas.net
pierreCro
Pierre-marie Croquet
Bande annonce
www.pmcroquet.com
Making off

Julie : « Un film est porté par son réalisateur mais aussi et surtout par son équipe. Narcose a vu le jour grâce au bénévolat des professionnels de l’image qui ont cru au projet et aux donations des internautes via la plateforme de crowdfunding ULULE.

Le tournage à commencé début octobre 2011 par la scène de mariage, la plus difficile à réaliser. Quatre mois plus tard était filmée la scène ou je suis enceinte, 10 jours avant mon accouchement. Le reste du tournage s’est effectué à Nice la première semaine du mois d’août 2012. Le film est terminé 6 mois plus tard, le temps de faire le montage, l’étalonnage, les effets spéciaux, la musique originale, les effets sonores et le mix. »

Guillaume : « La scène de la course en jean restera pour moi le tournage le plus difficile de toute ma carrière. Descendre torse nu dans l’eau froide, lesté de 6 kilos, sans air dans les poumons, attendre le signal du cameraman pour entamer ma course, résister à l’envie insoutenable de respirer, me laisser tomber le long de la falaise sous marine jusqu’à 18 mètres de fond, à bout de souffle et attendre que les apnéistes de sécurité me remontent à la surface… Je peux vous assurer que c’est bien plus dur qu’une plongée à -125m ! »